República X

Décima parte da República versando sobre o mito de , a vida, a alma.

Enéada III, 2, 7 — Não se deve culpar nem o universo nem a providência pelo mal

7-Comprendamos en primer lugar que el bien que buscamos en este mundo se halla en un ser mezclado de mal. No le exijamos, pues, que sea tan grande como el bien que se encuentra en el ser sin mezcla, ni busquemos el bien de los seres primeros en los seres que son segundos. Dado que el universo tiene un cuerpo, admitiremos que algo de él se incorpora al universo y sólo exigiremos la razón que pueda ofrecernos la mezcla, comprobando si nada le falta.

Chambry: La République X 614a-621d — Descida aos Infernos. O Mito de Er

— Pourtant ces choses-là, dis-je, ne sont rien, pour le nombre et pour la grandeur, en comparaison de celles qui attendent l’un et l’autre de nos personnages une fois qu’ils auront terminé leur vie. Et il faut entendre cela, si l’on veut que chacun d’eux ait reçu complètement ce que l’argument lui devait.

— Voudrais-tu l’énoncer ? avec plus de plaisir. d’autres choses que j’entendrais b avec plus de plaisir.

Chambry: La République X 608c-614a — Imortalidade da Alma

c — Et cependant, dis-je, nous n’avons pas exposé ce que sont les récompenses les plus importantes que rapporte l’excellence, ni les prix qui sont proposés pour elle. Tu parles sans aucun doute d’un ordre de grandeur inimaginable, dit-il, si ces récompenses sont supérieures à celles que nous avons dites !

— Mais, dis-je, qu’est-ce qui, dans une courte durée de temps, pourrait être grand ? Car tout ce temps de la vie, celui en tout cas qui va de l’enfance à la vieillesse, comparé à l’ensemble du temps, pourrait bien n’être que peu de chose, n’est-ce pas ?

Chambry: La République X 595a-608b — Poesia e Imitação

595 — Eh bien, dis-je, j’ai sans doute nombre de raisons, quand je pense à la cité, de considérer que nous l’avons fondée le plus correctement du monde, mais j’en ai surtout quand j’envisage la question de la création poé- tique.

— Sur quel point en particulier ! dit-il.

— Notre refus de tout ce qui en elle est poésie mimé- tique. Car la nécessité de la refuser avec toute l’énergie du monde apparaît, me semble-t-il, b avec encore plus de clarté, à présent qu’ont été distinguées et séparées chacune des espèces de l’âme.

— En quoi ?