Alcibíades

Homem político ateniense controvertido: interlocutor do Primeiro e do Segundo Alcibíades. [Brisson]

Segundo Alcibíades

Também chamado "Da Oração", o diálogo se engaja de modo abrupto entre Sócrates e Alcibíades que vai orar a um deus por um assunto que lhe parece importante. Sócrates demanda a Alcibíades se bem refletiu, pois o exemplo de Édipo mostra que a oração pode ter por consequência terríveis infelicidades. Alcibíades replica que Édipo era louco. Sócrates então faz notar que a loucura é o contrário da reflexão. Ora se a loucura é o contrário da reflexão, e se as pessoas que não refletem são mais numerosas que as que refletem, então devemos estar cercados de loucos, o que os fatos desmentem.

Cousin: Le Seconde Alcibiade 143a-151c — Ignorar não vale mais que saber?

ALCIBIADE.

Il est malaisé de contredire ce qui est bien dit. Mais je songe, Socrate, combien de maux l’ignorance cause aux hommes. C’est elle qui, à notre insu, [143b] nous fait faire tous les jours des choses qui nous sont funestes, et, ce qu’il y a de plus déplorable, c'est elle qui nous porte à demander aux dieux nos propres malheurs. Personne ne s'en doute ; et tout le monde se croit fort en état de demander aux dieux du bonheur et non de la misère ; car ce ne serait pas là une prière, mais une véritable imprécation.

SOCRATE.

Cousin: Le Seconde Alcibiade 139d-143a — Espécies de Insanidade

SOCRATE.

Il me le semble aussi, et c'est ce qu'il faut examiner de cette manière.

ALCIBIADE.

De quelle manière ?

SOCRATE.

Je vais te le dire : il y a des malades, n'est-ce pas ?

ALCIBIADE.

Qui en doute?

[139e] SOCRATE.

Être malade, est-ce avoir ou la goutte, ou la fièvre, ou mal aux yeux ? Et ne crois-tu pas qu'on peut n'avoir aucun de ces maux-là, et être pourtant malade d'une autre maladie ? car il y en a plusieurs espèces, et ce ne sont pas là les seules.

ALCIBIADE.

J'en suis très persuadé.

SOCRATE.

ALC1 132b-135b: Interpretação do "Conhece-te a ti mesmo"

Alcibiades — Todo eso está muy bien dicho, Sócrates; pero trata de explicarme cómo podemos tener cuidado de nosotros mismos.

Sócrates — Ese es negocio ya ventilado; porque ante todas cosas hemos sentado lo que es el hombre, y con razón, porque temeríamos, no siendo este punto bien conocido, dirigir nuestro cuidado a otras cosas que no fueran nosotros mismos, sin apercibirnos de ello.

Alcibiades — Así es.

Sócrates — Estamos convenidos, además, en que es el alma la que es preciso cuidar, debiendo ser este el único fin que nos propongamos.