Cousin

Victor Cousin (1792-1867) é um filósofo e homem político francês, com uma tradução completa das Obras de Platão no século XIX.

Cousin: Lois I

Dans ce Livre Premier, Clinias soutient que la guerre est la fin principale de la législation (625 e). L'Athénien riposte que le but du législateur est de mettre ce qui est bon à même de vaincre ce qui est mauvais (626 d). Il y a une hiérarchie des biens : extérieurs (richesse, honneur, pouvoir), du corps (santé, beauté, force, adresse), de l'âme (pensée, sagesse, justice, courage) (631 bc). Platon traite ensuite de l'éducation ("amour de la profession") (643 d), des banquets.

TEXTO: Les Lois

Cousin: Épinomis

Épinomis est un dialogue de Platon, dont l'authenticité est douteuse mais accepté dans le corpus platonicien.

Le genre du dialogue est Politique ; Épinomis semble offrir une conclusion ou un complément d'informations à La République ; Minos y servirait d'introduction.

Mêmes interlocuteurs que dans les Lois :

L’ATHÉNIEN, CLINIAS LE CRETOIS, ET MÉGILLE

TEXTO: Épinomis

Cousin: Apologie de Socrate 18d-28a — Justificação da defesa de Sócrates

Ainsi mettez-vous dans l'esprit que j'ai affaire à deux sortes d'accusateurs, comme je viens de le dire; les uns qui m'ont accusé depuis longtemps, les autres qui m'ont cité en dernier lieu; et croyez, je vous prie, [18e] qu'il est nécessaire que je commence par répondre aux premiers; car ce sont eux que vous avez d'abord écoutés, et ils ont fait plus d'impression sur vous que les autres.

Cousin: Hipparque

Hipparque est un dialogue de Platon sur la mort. Il fait partie des dialogues platoniciens dits suspects (dont on croit que Platon n'est pas l'auteur). Ici, Socrate et un disciple cherchent à définir ce qu'est l'avidité.

Comme conclusion, Socrate et l'interlocuteur conviennent que tous les hommes sont avides, puisqu'aucun ne peut dire qu'il n'aime pas le gain.

PERSONNAGES : SOCRATE, UN ANONYME.

TEXTO: Hipparque

Cousin: Le Seconde Alcibiade 143a-151c — Ignorar não vale mais que saber?

ALCIBIADE.

Il est malaisé de contredire ce qui est bien dit. Mais je songe, Socrate, combien de maux l’ignorance cause aux hommes. C’est elle qui, à notre insu, [143b] nous fait faire tous les jours des choses qui nous sont funestes, et, ce qu’il y a de plus déplorable, c'est elle qui nous porte à demander aux dieux nos propres malheurs. Personne ne s'en doute ; et tout le monde se croit fort en état de demander aux dieux du bonheur et non de la misère ; car ce ne serait pas là une prière, mais une véritable imprécation.

SOCRATE.

Cousin: Le Seconde Alcibiade 139d-143a — Espécies de Insanidade

SOCRATE.

Il me le semble aussi, et c'est ce qu'il faut examiner de cette manière.

ALCIBIADE.

De quelle manière ?

SOCRATE.

Je vais te le dire : il y a des malades, n'est-ce pas ?

ALCIBIADE.

Qui en doute?

[139e] SOCRATE.

Être malade, est-ce avoir ou la goutte, ou la fièvre, ou mal aux yeux ? Et ne crois-tu pas qu'on peut n'avoir aucun de ces maux-là, et être pourtant malade d'une autre maladie ? car il y en a plusieurs espèces, et ce ne sont pas là les seules.

ALCIBIADE.

J'en suis très persuadé.

SOCRATE.

Cousin: Les Rivaux

Les Rivaux, en grec ancien Anterastai, dialogue sur la philosophie, est l'un des courts dialogues socratiques apocryphes que les manuscrits joignent aux œuvres de Platon. Le dialogue est dit de genre éthique.

Le dialogue a lieu dans la maison de Denys le grammairien. Selon Diogène Laërce, le personnage inconnu des Rivaux, qui discute de philosophie avec Socrate pouvait être Démocrite. Ce passage à Athènes était néanmoins considéré déjà comme douteux dans l’Antiquité.

TEXTO: Les Rivaux