Cousin: Lois I 635e-650b — A Temperança
L’ATHÉNIEN.
Maintenant, Clinias, et toi étranger de Lacédémone, si nous passons, comme nous nous le sommes proposé, de la force à la tempérance, que trouverons-nous sur ce point, comme tout à l’heure sur la guerre, de mieux réglé dans vos deux États que dans les autres, qui se gouvernent au hasard?
MÉGILLE.
C’est ce qu’il n’est pas aisé de dire.
CLINIAS.
Pour moi, je trouve que les repas en commun et les gymnases sont très bien imaginés pour le courage et la tempérance.
L’ATHÉNIEN.