Peters: genesis (Aristóteles)
12. Tudo isto é, porém, a
gr. hýle, hylê = matéria. Latim: matéria. Derivado: hylikós: material. Substância indeterminada comum aos corpos: uma árvore, um móvel e uma bengala têm como matéria comum a madeira. A abstração chega a imaginar uma matéria indiferenciada, que não é nem madeira, nem pedra, nem metal, mas uma realidade sensível de que são feitas todas as coisas. [Gobry]
12. Tudo isto é, porém, a
Segundo Brisson & Pradeau (2002 p.
THE BODY IS RATIONALIZED MATTER.
GENRES DE L'ÊTRE SENSIBLE
(I) Il y a dans le monde sensible des genres de l'être analogues à ceux qui existent dans le monde intelligible. Pour les déterminer, il faut nettement séparer l'âme du corps.
(II) A l'être véritable et intelligible correspond la nature corporelle, qui s'appelle aussi essence, mais qu'on doit proprement nommer génération, parce qu'elle implique l'idée d'un écoulement perpétuel. En l'examinant, on voit que la division des genres de l'être sensible ne correspond pas à celle des genres de l'être intelligible.
(I) Après avoir critiqué les catégories d'Aristote et des Stoïciens dans le livre précédent, Plotin expose ici sa propre théorie, qu'il présente comme entièrement conforme aux idées de Platon.
DES GENRES DE L'ÊTRE INTELLIGIBLE
Pour rechercher quels sont les genres de l'être, il faut avant tout admettre que l'être n'est pas un, comme Platon l'a démontré avec d'autres philosophes. Il s'agit ici de l'être véritable; qu'il importe de ne pas confondre avec ce qui détient et qu'on nomme génération.
(I) Il y a des opinions très différentes sur le nombre des êtres et sur les genres qu'ils forment. Nous allons commencer par examiner la doctrine que les Péripatéticiens professent à ce sujet.
CRITIQUE DES DIX CATÉGORIES D'ARISTOTE
(II-III) Les dix catégories d'Aristote ne sauraient s'appliquer également aux êtres intelligibles et aux êtres sensibles.
(I) Le Mal absolu, étant la négation de l’Être et de la Forme, ne peut être connu directement par lui-même. On ne peut le concevoir qu’indirectement, en se le représentant comme le contraire du Bien : d’où suit que pour déterminer la nature du Mal, il faut d’abord déterminer celle du Bien.
(I-II) Il y a trois hypostases divines, l’Un ou le Bien, l’Intelligence, l'Âme universelle. — L’Un ou le Bien est, en vertu de sa simplicité même, le Premier et l’Absolu. On ne saurait donc distinguer en lui l’acte et la puissance [comme les Gnostiques ont distingué dans Bythos Ennoia et Thelesis]. L’intelligence réunit en elle même, jusqu’à la plus parfaite identité, le sujet pensant, l’objet pensé et la pensée même.
Ce livre se rattache au précédent parce que Plotin y traite encore de la matière, qu’il considère comme la puissance de devenir toutes choses.